Les navigations

Petit Spérone – Cavallo

Bye Bonifacio !

On quitte enfin la nuée de Bonifacio.

Ok, je vais faire le vieux con : j’ai connu Bonifacio plus paisible ; moins cher ; … j’ai comme l’impression que le Sud de la Corse a pris la teinte du Nord de la Sardaigne et de Porto Cervo.

Sur le quai d’honneur, il y avait un yacht mo-nu-men-tal. De ceux pour lesquels on tiendrait le pari qu’ils ne peuvent pas entrer tellement ils sont énormes. Et là, au chausse-pieds, ils l’ont mis au fond du port… Le va-et-vient des bateaux (et vedettes de visite des « grottes » etc.) est incessant.

Vite… partons !

Premiers invités à bord

[En fait, pas tout à fait « les premiers », puisque mamie-Kino et d’autres nous avaient rejoint à La Grande Motte, mais ce sont les premiers depuis que le voyage a démarré.]

Nous avions donné rendez-vous à nos amis, Greg, Alexis et leur fille Bianca, à la station-services du port.

Nous embarquons Greg et Bianca, mais pas Alexis, qui a le mal de mer rien qu’en regardant Titanic.

Nous rendons devant la plage de « petit Spérone », pour l’y retrouver. Baignade, déjeuner sur le bateau (finalement il supporte bien le roulis léger).

Puis on abandonne de nouveau Alexis : nous irons tous (sauf lui) jusqu’à Cavallo pour y mouiller, dîner et dormir.

Arrivés sur place, je me réjouis de pouvoir faire bisquer Alexis : le mouillage est idyllique et pas rouleur du tout… et puis… venu de nulle part, une houle arrive, que l’on prend d’abord pour celle d’un « gros » passé au large. Mais non… ça dure…on dîne la boule au ventre en se disant que c’est raté… et puis, comme par miracle, vers 23h, tout s’arrête (sauf le vent : 15-20 kts).

La nuit sera bonne : venteuse, mais stable.

Le matin, le rite continue : baignade, petit-déj., baignade, masque et tuba… les filles commencent à se baigner sans flotteurs ou gilets : juste avec une planche et parfois rien.

Et puis l’on file redéposer nos invités d’un jour à petit Spérone., non sans passer quelques temps sur cette jolie plage, délaissée des touristes parce qu’il faut marcher pour s’y rendre (chut !).

Bises, bye… et nous filons vers la Sardaigne.

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